lundi 7 mai 2012

La communication chimique (suite)

Phéromones humaines mythe ou réalité?
De nombreux parfums présentent les phéromones comme un argument de vente pour accroître le potentiel de séduction. Un phénomène relèverait d'une influence phénoménale: la synchronisation des cycles ovariens chez les femmes qui vivent ensembles (l'effet McClintok). Cependant aucune substance n'a pu être identifiée et nous ne connaissons pas les mécanismes de cette éventuelle substance. Par ailleurs il semble que l'organe voméronasal (organe présent dans le nez permettant de détecter les phéromones) soit atrophié et ne soit plus qu'un vestige de notre évolution. C'est là que la communauté scientifique se divise, d'autres pensent que cet organe est encore fonctionnel. Une équipe de scientifiques autrichienne avancent que notre corps produit un cocktail olfactif d'environ 400 substances chimiques qui nous est strictement personnel. On sait par exemple que les aréoles de mamelon émettent des substances actives que l'on ne retrouve qu'à cet endroit précis. Ce qui permettrait peut être aux bébés de reconnaître leurs mères. Cela impliquerait donc qu'il existerait un organe chez l'homme qui permettrait de capter ses substances. La réponse reste un mystère à ce jour.

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